A Bure, les militant-es anti-nucléaires maintiennent la pression face à une préfecture qui blesse et mutile.
Un père de famille sera vraisemblablement amputé de 5 orteils après avoir été touché par une de ces grenades dites "de désencerclement" à l'utilisation controversée. La mort de Rémi FRAISSE, n'empêche pas l'Etat et les gendarmes de continuer à prendre de risque de tuer les militant-es contre les projets inutiles.
Article sur la dernière manifestation à Bure
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